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Conséquences médicales

Insuffisance cardiaque et accidents vasculaires cérébraux

Académie américaine de neurologie (2016)

Les chercheurs ont constaté que la probabilité de faire un AVC ischémique était 8 % plus élevée dans les deux jours suivant le passage à l’heure d’été comparé à la période de 4 semaines entourant le changement d’heure. Les données indiquent également que « les patients atteints de cancer étaient 25 % plus susceptibles d’avoir un AVC, et les plus de 65 ans ont vu leur risque d’AVC augmenter de 20 % après avoir changé d’heure. » « Toutefois, le pic peut être de courte durée, car le nombre de décès par AVC dans les hôpitaux dans la semaine qui suit le passage à l’heure d’été n’a pas augmenté dans l’ensemble.
Chercheurs : « analyse d’une décennie de données sur l’AVC en Finlande de 2004 à 2013 ».

Université de Westminster

« Les gens qui se réveillent tôt ont des niveaux de cortisol plus élevés. C’est la principale hormone de stress du corps humain. Une équipe a examiné le cortisol dans la salive de plusieurs personnes prélevée à leur réveil. Cela a permis de constater que les personnes qui vont travailler avant 7h21 souffrent plus de stress. Ces lève-tôt souffrent davantage de douleurs musculaires, de maux de tête et du froid. De plus, leur état d’esprit laisse à désirer. »

Étudier l’institut Karolinska, Stockholm

« Une hausse de 5 % de crises cardiaques est observée après chaque passage à l’heure d’été. »

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Christopher M. Barnes and David T. Wagner Michigan State University

Nous dormons de moins en moins : dans la plupart des pays occidentaux, la durée du sommeil est tombée de 9 à 7,5 heures au cours des 30 dernières années. Si vous ne vous reposez pas suffisamment, vous pouvez développer toutes sortes de plaintes: troubles de concentration, hypertension artérielle, diabète, troubles du système immunitaire, ...
Nos habitudes de sommeil ont considérablement changé, en partie en raison de l’influence de la lumière artificielle. Le sommeil reste une chose mystérieuse, mais est clairement liée au fonctionnement neuro-chemo-électrique général du cerveau. La perception anormale de la lumière, en particulier de l’aube, peut donc être étroitement liée à des problèmes neurologiques tels que la dépression, le stress, l’insomnie et l’épilepsie.

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